La bureaucratie représentative
By: Rosenbloom, David H
.
Contributor(s): Dolan, Julie.
Material type: 
ArticlePublisher: Paris : ENA, 2006Revue Française d´Administration Publique 118, p. 251-264Abstract: Les auteurs retracent les origines et le développement, à la suite des travaux de J. D. KingsleyAbstract: dans les années 1940, de la notion de « bureaucratie représentative » aux États-Unis. Celle-ciAbstract: postule quune administration reflétant la composition de la société civile est le vecteur duneAbstract: efficacité pratique et dune légitimité démocratique accrues. Cette théorie comporte deuxAbstract: versions : dune part, une approche qui met laccent sur la composition sociale du personnelAbstract: administratif et notamment la façon dont celle-ci pèse, selon divers degrés, sur les décisionsAbstract: administratives et, dautre part, une approche qui sintéresse davantage aux mécanismesAbstract: permettant dassocier les citoyens à laction administrative, comme la régulation concertée ouAbstract: les comités consultatifs
Les auteurs retracent les origines et le développement, à la suite des travaux de J. D. Kingsley
dans les années 1940, de la notion de « bureaucratie représentative » aux États-Unis. Celle-ci
postule quune administration reflétant la composition de la société civile est le vecteur dune
efficacité pratique et dune légitimité démocratique accrues. Cette théorie comporte deux
versions : dune part, une approche qui met laccent sur la composition sociale du personnel
administratif et notamment la façon dont celle-ci pèse, selon divers degrés, sur les décisions
administratives et, dautre part, une approche qui sintéresse davantage aux mécanismes
permettant dassocier les citoyens à laction administrative, comme la régulation concertée ou
les comités consultatifs
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