000 01761naa a2200301uu 4500
001 7091315442610
003 OSt
005 20190218141728.0
008 070913s2007 xx ||||gr |0|| 0 fre d
100 1 _aMONTRICHER, Nicole De
_97388
245 1 0 _aLe comité d´enquête de 1989 à 2001 :
_bconserver une compétence interministérielle
260 _aParis :
_bENA,
_c2007
520 3 _aÀ partir de 1995, l’idéologie qui sous-tend l’action publique s’infléchit en corrélation
520 3 _aavec les normes internationales de décentralisation, de politisation fonctionnelle et de
520 3 _atransparence. Dans ce nouveau contexte, les ressources de « non spécialiste » que
520 3 _amobilise le Comité sont mal adaptées à la multiplication des dispositifs professionnalisés,
520 3 _aen particulier le « coût et rendement » de l’activité fait partie de l’activité routinière des
520 3 _aministères. La véritable originalité du Comité réside désormais dans sa compétence
520 3 _ainterministérielle que les autorités gouvernementales envisagent d’utiliser pour le
520 3 _aspécialiser dans les travaux de modernisation par « consensus ». Ce type de démarche
520 3 _asuppose que les participants puissent se mettre d’accord sur les données du problème qui
520 3 _aleur est soumis et sur leur interprétation. C’est un processus long, qui exige la
520 3 _amobilisation à moyen terme d’acteurs ayant un pouvoir de décision
773 0 8 _tRevue Française d´Administration Publique
_gEspecial, p. 63-80
_dParis : ENA, 2007
_xISSN 01527401
_w
942 _cS
998 _a20070913
_b1544^b
_cTiago
998 _a20100917
_b1237^b
_cJaqueline
999 _aConvertido do Formato PHL
_bPHL2MARC21 1.1
_c24501
_d24501
041 _afre