000 01903naa a2200205uu 4500
999 _c50816
_d50816
001 6051711043549
003 BR-BrENAP
005 20190218142103.0
008 160517s2015 xx ||||gr |0|| 0 fre d
040 _aBR-BrENAP
_bPt_BR
999 _bPHL2MARC21 1.1
100 _aMarcou, Gérard
_942377
245 1 0 _aL'état, la décentralisation et les régions
260 _aParis :
_bENA,
_c2015
520 3 _aLes lois votées depuis 2013 ont repris, une fois de plus, la réforme des collectivités territoriales. La réforme du « bloc » communal semble assurée, avec la création de 14 métropoles, dont celle du Grand Paris, et la généralisation des intercommunalités, dans la continuité de la loi de 2010, mais avec un seuil démographique beaucoup plus élevé. En revanche la réforme des niveaux intermédiaires est inconséquente : après avoir renouvelé la légitimité des conseils départementaux en 2013, leur suppression a été annoncée, puis la création des grandes régions en a justifié le maintien et la loi NOTRe leur a maintenu les compétences que le projet prévoyait de transférer aux régions. La clause générale de compétence des départements et des régions, d’abord supprimée par la loi de 2010, rétablie par la loi du 27 janvier 2014, est de nouveau supprimée par la loi du 7 août 2015. En définitive l’impulsion régionaliste de la seconde vague de réforme ne s’est pas imposée. La voie est ainsi ouverte à l’actualisation du système français d’administration territoriale dont le pivot est le couple État (préfet) – commune (intercommunalité)
909 _a201808
_bVinícius
942 _cS
_2ddc
041 _afre