000 | nam a22 7a 4500 | ||
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999 |
_c52050 _d52050 |
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003 | BR-BrENAP | ||
005 | 20190212170029.0 | ||
008 | 180307b xxu||||| |||| 00| 0 por d | ||
022 | _aISSN 01527401 | ||
040 |
_aBR-BrENAP _bpt_BR |
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044 | _afr | ||
100 | _aMASQUELIER, Philippe | ||
245 | _aLe débat autour de la redevabilité des nouveaux organismes publics et parapublics dans les années 1950 | ||
260 |
_aFrança _bL'École Nationale d'Administracion _c2017 |
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300 | _a13 p. | ||
362 | _a2016 | ||
520 | _aRendre des comptes, c’est à la fois présenter des comptes et mesurer, à l’aune de règles juridiques, les responsabilités qui sont liées à l’emploi des fonds correspondants. Dans les années cinquante la question de la redevabilité des comptes se présente sous un nouveau jour dans le cadre du développement massif et soudain d’un important secteur parapublic. Celui-ci, répondant pour partie à des exigences à caractère commercial, a cherché à échapper à la comptabilité publique et aux contrôles juridiques qui y étaient traditionnellement attachés. Dans cette optique, rendre des comptes se limitait à présenter des comptes. Gilbert Devaux, directeur de la Comptabilité publique de 1949 à 1956, s’efforça de combattre ce mouvement centrifuge. Il contribua fortement à la rédaction de textes visant à limiter les risques d’engagement des fonds publics à destination du secteur parapublic. Ce faisant, il réaffirmait le primat accordé à l’arsenal juridique de la comptabilité publique sur la production comptable de résultats chiffrés. | ||
546 | _aFrancês | ||
777 |
_tRevue Française D'Administration Publique _w160, p. 1027-1040 _xISSN 01527401 |
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909 |
_a201803 _bLetícia Amarante Cardoso |
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942 | _cS | ||
041 | _apor |