000 | nam a22 7a 4500 | ||
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999 |
_c52065 _d52065 |
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003 | BR-BrENAP | ||
005 | 20190212170056.0 | ||
008 | 180312b xxu||||| |||| 00| 0 por d | ||
022 | _aISSN 01527401 | ||
040 |
_aBR-BrENAP _bpt_BR |
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044 | _afr | ||
100 | _aNIOCHE, Jean-Pierre | ||
245 | _aLes trois paradigmes de l'évaluation de politiques publiques face à l'obligation de rendre des comptes et de rendre compte | ||
260 |
_aParis, France _bL'École Nationale d'Administracion _c2016 |
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300 | _a14 p. | ||
362 | _a2016 | ||
520 | _aCet article analyse comment l’évaluation des politiques publiques peut servir les principes démocratiques consistant à rendre des comptes et à rendre compte. Il part d’une typologie des modes d’évaluation autour de trois paradigmes : l’évaluation stratégique ou « par les preuves », l’évaluation collaborative/pluraliste ou « par la délibération » et l’évaluation managériale ou « par les normes de pilotage », et montre que ces trois approches n’ont pas les mêmes capacités à rendre des comptes et à rendre compte. Se concentrant sur la première de ces deux fonctions, la reddition de comptes, il explique par des facteurs politiques la prééminence actuelle en France de l’évaluation collaborative/pluraliste, pourtant la moins apte à remplir cette fonction. Paradoxalement, l’évaluation managériale, potentiellement apte à la reddition de comptes, notamment en s’appuyant sur le cadre de la LOLF, est peu utilisée, tant par l’exécutif que par les institutions de contrôle de son action, que sont le Parlement et la Cour des comptes. | ||
546 | _afrancês | ||
700 |
_930340 _aNIOCHE, Jean-Pierre |
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777 |
_tRevue Française D'Administration Publique _w160, p. 1227-1240 _xISSN 01527401 |
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909 |
_a201803 _bLetícia Amarante Cardoso |
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942 | _cS | ||
041 | _apor |